•      Description des tâches à effectuer !

        Une bouffée de plaisir me fait tourner la tête. Je sonne. Mon cœur bat très fort d’excitation. Une silhouette se dessine derrière la porte vitrée qui s’ouvre. Il m’apparait alors une superbe jeune femme d’une trentaine d’années, Elle est magnifique, des cheveux noirs noués en un chignon strict sur le haut du crâne, des formes aguicheuses sous une longue robe noire en cuir, chaussée de cuissardes vernies noires à talons aiguilles ; elle me scrute lentement de haut en bas et elle plonge ses yeux verts dans les miens, ce qui m’oblige à baisser les yeux, et j’ai tout de suite l’impression d’être une proie à proximité d’un prédateur. « C’est pour quoi ? » me dit-elle

         Elle me dévisage et je lis dans son regard l’étonnement de trouver non pas une femme comme elle l’attend. Je me présente respectueusement en expliquant que je suis bien la personne annoncée, Andréa, qui vient faire son ménage. Ce petit malentendu dissipé, elle m’invite à rentrer. Je m’exécute. Sans plus attendre, Mademoiselle Marina souhaite faire le tour des tâches que j’aurai à effectuer. Je viens de retirer ma doudoune en nylon, que j’accroche au porte-manteaux dans le placard de l’entrée et je lui apparais déjà en tenue de travail, avec ma robe de soubrette et mon tablier de satin blanc. Je retire mes gants en cuir et je prends dans mon sac à main une petite coiffe en satin, que je place dans mes cheveux.

         Après le traditionnel « Bonjour Madame » je me comporte en vraie professionnelle. Je sais qu’il faut d’abord savoir si le travail se limite aux parties ordinaires de la maison ou s’il s’étend aussi aux parties privatives, c’est à dire à la partie privée de l’appartement de la Maîtresse. Et là, on rentre dans son intimité. Elle dit que la femme de ménage qu’elle recherche doit s’occuper de toutes les tâches et services attendus. Alors, je demande à visiter les lieux. Nous commençons le tour des pièces en commençant par la cuisine et elle me décrit la liste des tâches à effectuer. “Bien Madame” lui dis-je à chacun de ses ordres en signe de respect, les mains croisées dans le dos et la tête baissée. Je demande à voir les placards pour voir comment est rangée la vaisselle, où sont rangés les produits d’entretien, quels sont les produits qu’elle utilise.

         La visite continue par la salle à manger, le salon, la salle de bains, les sanitaires, puis elle m’indique un endroit au fond du couloir, accessible par une porte dérobée, qui débouche sur un escalier qui amène à l’étage dans un espace qu’elle appelle le donjon, mais qu’elle ne me fait pas visiter dans l’immédiat, car elle me dit que ce n’est pas prévu dans la période d’essai ?

              Les trésors du dressing de Mademoiselle Marina 

         Tout en continuant la visite et pour me préparer à ce qu’elle va me dévoiler, elle m’annonce qu’elle reçoit chez elle des hommes ou femmes qui veulent vivre leurs fantasmes, qui veulent vivre soumis et esclaves d’une Femme autoritaire, elle se déclare alors comme une Femme Dominatrice patentée, qui vit ses passions par plaisir et qui en tire aussi son profit. Sans le savoir, je suis entrée dans la gueule du loup, je vais assurer le service d’une dominatrice, en étant son employée et peut être aussi une de ses esclaves ?

          Nous entrons ensuite dans la chambre à coucher de Mademoiselle Marina.  Je suis tout de suite imprégné d’une forte odeur de cuir et de parfums entremêlés et ce que je peux apercevoir me fait frissonner, tout en m’apportant quelques sensations au bas du ventre, mes cheveux se dressent et ma peau se pare de picotements. Son mobilier ne laisse aucun doute sur les orientations sexuelles pratiquées en ces lieux. En plus d’un lit à barreaux, on trouve au milieu de la chambre une table basse, dont les pieds sont garnis de courrois en cuir, je peux apercevoir une croix de St André, scellée contre le mur dans une petite alcôve, qui est fermée par un long rideau rouge en satin. Au mur, sur des potences, sont pendus à des crochets tout un assortiment de fouets et de cravaches, des colliers et des laisses, ainsi que tout le nécessaire pour pratiquer des séances de ligotage. Quelques photos artistiques, accrochées au mur, encadrées et en noir et blanc représentent différentes scènes de soumission d’esclaves par des Maîtresses-Femmes.

          Puis, elle me fait visiter une deuxième chambre, plus petite, qui est reliée par une porte avec la chambre, dans laquelle je peux apercevoir non seulement un grand lit à barreaux et baldaquins avec de longs voiles blancs en nylon, lit recouvert d’un édredon et d’oreillers en satin rouge : contre un des murs de la chambre, une table allongée ressemblant à une table de soins ou de massage, qui est posée sur un large coffre en fer, une cage à barreaux, avec une porte sur le côté, fermée par une serrure avec un gros cadenas en laiton.

           Dans le grand dressing, qui est contigu à sa chambre à coucher, Marina me présente des penderies aménagées qui offrent à mes yeux tout un lot de vêtements féminins, de déguisements et de dessous en tout genre. Tout est parfaitement rangé, un casier pour les petites culottes, un autre pour les soutiens gorge, un autre pour les bas allant de la soie fine à la résille, et des porte-jarretelles, le tout dans différents coloris. Il y a aussi sur des portants des robes en cuir, des robes en soie, des chemisiers, des combinaisons, des jupes en cuir, ainsi qu’un grand choix de déshabillés, nuisettes, longues chemises de nuit et peignoirs, ainsi que plusieurs douillettes et robes de chambre matelassées et kimonos en soie. Je m’approche de ces vêtements, en les effleurant entre mes doigts, ils sont doux et chatoyants et je suis déjà en train de jouir intérieurement, en imaginant pouvoir les porter un jour, sur ordre de Ma Maîtresse ou alors en cachette, sans son consentement, lorsqu’elle sera absente. Aussi elle me montre des corsets en cuir, ainsi que des bodies en taffetas et satin. J’observe aussi, accroché à un porte-manteau de la porte intérieure une curieuse camisole en cuir dont les manches se terminent par des anneaux. Sur des étagères s’étend une collection de chaussures de taille variées, depuis les bottes hautes avec talons aiguilles, des bottines et des escarpins à talons hauts. Une malle ouverte déborde de masques, vibromasseurs, godes, gode-ceintures, plugs, plumeaux, pinces à seins et autres accessoires SM, menottes en cuir et bracelets en acier.  Au milieu de ce large dressing il y a aussi une petite cage en fer dans lequel se trouve un matelas pour une personne, recouvert d’un drap noir en latex.

          Immergée dans une telle atmosphère, je commence à rougir fortement et j’ai de la difficulté à maîtriser mes émotions. Je découvre à chaque instant que l’intensité de mon besoin de soumission que je croyais déjà maximale ne fait qu’augmenter, à chaque pas que je fais en compagnie de Ma Maîtresse.

        Je ne manque pas d’exprimer explicitement ma soumission à cette jeune et jolie inconnue. Ma jeune Maîtresse est une femme exigeante, qui a largement prévu de quoi occuper sa femme de ménage. Elle se montre intransigeante sur ce qu’elle attend de moi. Déjà je sens l’emprise de cette jeune femme sur ma personne, ce magnétisme qui fait que je ne peux qu’obéir devant sa beauté et son autorité.

          Elle termine ce tour d’horizon en me montrant le placard à balais où se trouvent aspirateur, plumeaux, balais, produits d’entretien, chiffons, tabliers et blouses d’entretien ainsi qu’un autre placard à ménage fermé à clef. Elle m’invite à regarder à travers la petite fenêtre de la porte du placard et je vois au milieu de la pièce un fauteuil dont le siège percé dans son milieu est recouvert sur le pourtour de picots ?

         Nous revenons ensuite dans le séjour, elle m’invite à m’assoir dans un fauteuil, je pose alors quelques questions qui peuvent lui paraître indiscrètes, mais qui me sont nécessaires, au sujet de ses sorties, qui elle reçoit, et quand.

     

              Prête à devenir la parfaite femme de ménage ! 

     « J’espère que vous ne me décevrez pas, Andréa : me dit-elle.  J’ai eu plusieurs femmes de ménage avant vous et cela n’a pas fonctionné ».

           Mademoiselle Marina est une jeune femme très exigeante, et j’ai intérêt d’être à la hauteur.

    « Madame : lui dis-je respectueusement en me relevant, les mains croisées dans le dos, la tête basse et le regard juste relevé comme une domestique qui parle à sa Maîtresse, je ferai tout ce que vous me demanderez afin de vous donner entière satisfaction ».

          Peu à peu, je sens ma volonté m’abandonner pour me soumettre à cette autorité féminine suprême. Cela génère en moi un plaisir enivrant. En signe de soumission et de féminisation, j’enfile tout de suite ma blouse bleu ciel par-dessus ma robe de soubrette. Je serre fortement la ceinture, car j’aime me sentir ligotée dans des vêtements de nylon. Cela a aussi pour effet de faire ressortir les bonnets de mon soutien-gorge, en me dessinant une poitrine plus féminine. J’appuie mon action :

    « Voici Madame, j’ai passé ma blouse, je suis prête à vous servir », lui dis-je tout en enfilant une paire de gants bleus en latex.

          Elle me répond :

    « Très bien, Andréa, vous savez ce qu’il faut faire maintenant ».

        Heureuse d’être une femme de ménage !

            Je commence par passer l’aspirateur. Chaque mouvement provoque un crissement de ma blouse en nylon sur le satin de ma robe de soubrette, ce qui me conforte dans l’idée que je suis prisonnière de mon destin de femme de ménage. Naturellement, cela me provoque un intense plaisir. Ma jeune et jolie patronne n’est pas bien loin et garde un œil sur moi. Je ne veux pas la décevoir. Il faut ensuite faire les poussières. Plumeau, chiffons, dépoussiérant… Mademoiselle Marina m’a bien équipée et la poche de ma blouse est pratique pour y ranger mon matériel. Voici à peine une heure que j’ai commencé mon nouveau métier et j’ai déjà les réflexes d’une femme de ménage d’expérience. Il faut croire que cette profession m’est destinée !

           Je passe ensuite à la salle de bain. Nettoyer la baignoire n’est pas une mince affaire, et je décide d’y rentrer. Pour éviter de trop me mouiller, j’enlève mes chaussures. Mes jambes révèlent mon collant nylon opaque. En nettoyant la baignoire je réalise que ce métier de femme de ménage m’ouvre les portes de l’intimité de cette belle Maîtresse, me tenant là où tous les jours elle se tient nue. Le rinçage projette beaucoup d’eau sur ma blouse et ma robe qui finissent par être mouillées et me collent à la peau en dévoilant mes dessous féminins. 

          Volonté de Féminisation 

          Soudainement, Mademoiselle Marina arrive et semble étonnée de me voir dans sa baignoire. Je m’empresse de me justifier.

    « Excusez- moi Madame, mais j’ai dû rentrer dans la baignoire pour la nettoyer ».

    Elle acquiesce, n’étant peut-être tout simplement pas habituée à autant de dévotion par ses précédentes femmes de ménage.

          En rangeant la salle de bains, je remarque une boite de protège-slips. La tentation est trop forte, et j’en prends un dans ma poche. J’ai toujours adoré avoir avec moi des produits d’hygiène féminine car cela me renforce dans ma féminisation. Mais ce protège-slip ne va pas rester bien longtemps dans la poche de ma blouse en nylon. Je demande à Mademoiselle Marina si je peux me permettre d’aller aux toilettes, ce à quoi elle m’autorise. Je m’assois, relève ma blouse et baisse ma petite culotte, afin d’uriner comme une femme. Puis je me relève et je glisse le protège-slip dans ma culotte, en prenant soin qu’il recouvre entièrement mon pénis, que je lace avec un cordon de soie qui entoure mes hanches et colle mon pénis contre mon périnée. On pourrait deviner sous mon slip une petite chatte féminine…J’en profite pour m’introduire un petit godemiché en latex noir dans l’anus. Hmmm, quel plaisir de se sentir femme. Je ressors des toilettes, femme de ménage « avec son petit cache périodique ».

           Fétichiste des dessous féminins

           Madame m’a aussi ordonné de vider le panier de linge sale pour lancer une lessive. En m’exécutant, je trouve à mon grand plaisir sa lingerie parmi les autres vêtements : culottes, strings, soutien gorges, bodys, corsets, collants, nuisettes et chemises de nuit. Je prends l’un de ses petits strings en soie transparente et je ne peux résister à la tentation de le porter sur mes lèvres. Quel délicieux parfum… J’ai envie de prolonger ce moment. Gardant son string dans ma main, je reviens vers Mademoiselle Marina en lui demandant si elle ne préfère pas que je lave à la main ses délicats dessous.

     

           Elle ne semble d’abord pas adhérer à l’idée en prétextant que je n’aurais pas le temps de tout faire. Je m’empresse de la rassurer car que je serai ravie d’y consacrer le temps nécessaire en restant plus longtemps, toujours gratuitement. Pour appuyer mon propos, je ramène son string devant mon visage en prétextant qu’un si joli dessous mérite un soin particulier pour rester toujours agréable à porter. « Eh bien soit, Andréa, si vous voulez y consacrer plus de temps ». Me voilà ainsi officiellement laveuse des petites culottes de Madame, ce qui m’excite terriblement.

     

          Je n’ai qu’une envie : qu’elle me voit prendre plaisir à lui laver ses dessous. Je remplis l’évier de la cuisine d’eau tiède et de lessive et je pose ses dessous sur le plan de travail. Lentement, j’en fais l’inspection, un à un. String en tulle brodée transparent, petite culotte brésilienne en microfibre noire et dentelle blanche, body en polyamide blanc, bas et porte-jarretelles en soie….

     

          Mademoiselle Marina a du gout pour les dessous sexy. Il y a encore quelques heures, je ne connaissais pas cette belle et jeune inconnue, et me voici désormais à son service en train de lui laver à la main ses petites culottes souillées. J’ai réussi à rentrer dans son intimité. Cela m’excite terriblement. Peut-être trop.

          

          Quel plaisir de m’imprégner ainsi du doux parfum de Mademoiselle Marina. Je nettoie avec la plus grande attention, et la plus grosse érection, sa lingerie. Soudainement je sens le bout de mon sexe, gonflé par le plaisir, sortir du haut de ma petite culotte en satin, malgré le cordon qui l’enserre contre ma taille. Mon gland est en contact avec le satin de ma robe, ce qui ne manque pas de faire une bosse sous ma blouse. L’occasion est trop belle. A chaque mouvement de lavage je comprime mon sexe sur le bord de l’évier, ce qui provoque un frottement du gland sur ma robe. Je suis terriblement excitée, à tel point que je porte l’un des strings de Mademoiselle Marina sur mes lèvres, laissant ma langue se régaler d’un prélavage. Cela combiné à la caresse du satin sur mon sexe, je me sens dans un état de plaisir rarement atteint.


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